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Test ultra simple à faire en ce début d'année et mesurer les bénéfices...


Au-delà des bonnes résolutions du début d'année, devenez le héros d'une société plus juste dans laquelle nous pouvons tous vivre en harmonie. Si les termes "respect", "amour", "nature" ou encore "processus d'amélioration personnelle" vous parlent, n'hésitez pas une seule seconde.


La règle du jeu est simple :

 1. Appliquez-vous à faire au moins une bonne action quotidienne
     Aidez quelqu'un dans la difficulté sans même que cette personne ne le demande.
     Souriez gratuitement davantage, même à des inconnus.
     Transmettez un savoir qui vous semble important à quelqu'un.
     Complimentez sincèrement quelqu'un.
     Planifier un geste particulier pour protéger l'environnement.
     Rendez visite à une personne seule qui a besoin de compagnie...

2. Faites-le savoir autour de vous et partagez ce message encore et encore. Si vous le recevez plusieurs fois, cela veut dire qu'une Renaissance est en marche.


NB : Il est prouvé que le simple fait d'occuper ses pensées à planifier sincèrement une bonne action change notre humeur. La réaliser apporte également du bonheur à ceux qui en bénéficient.


Est-ce utopique ? Probablement un peu, quoique... Si une personne sur deux partage ce message à seulement 10 personnes (mails, réseaux sociaux...), il peut être lu par près de 10 millions de personnes différentes au bout du 10ème partage seulement. Alors oui, ce jeu en vaut la chandelle. Grâce à internet, il est possible de collecter des millions de goûtes d'eau et d'en faire un océan de paix et d'amour.

"Les projets sont les promesses que l'imagination fait au cœur" - Jean-Louis Vaudoyer

"Aidez les autres et c'est vous le premier qui vous sentirez mieux" - Omraam Mikhaël Aïvanhov



Thème abordé dans Renaissance : la nature

La nature est tout pour nous. C'est notre seule maison au milieu d'un immense espace vide. Prenons conscience de cela et protégeons notre chère planète.



 

Photos du vallon de Bellevaux et d'Orgeval, au cœur du Massif des Bauges, où se réfugient Alexandre et sa famille... 
L'un des plus beaux massif français, si ce n'est le plus beau. Plus de photos...

Thème abordé dans Renaissance : être ou avoir ? Telle est la question.


Le psychologue américain Abraham Maslow (1908-1970) propose en 1943 dans son article «A Theory of Human Motivation » une classification hiérarchique des besoins humains, dont il distingue cinq grandes catégories, allant du niveau 1 (la base) au niveau 5 (le sommet de la pyramide ; le besoin d’accomplissement). Le passage d’un niveau à l’autre ne pouvant s’effectuer que si le besoin du niveau inférieur est satisfait.


Les besoins humains selon Maslow :

-  Les besoins physiologiques sont directement liés à la survie des individus ou de l’espèce. Ce sont typiquement des besoins concrets (faim, soif, sexualité,...).
-  Le besoin de sécurité consiste à se protéger contre les différents dangers qui nous menacent. Il s’agit donc d’un besoin de conservation d’un existant, d’un acquis. Il s’inscrit dans une dimension temporelle.
-  Le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu qui a besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels il vit (famille, travail, association, ...). L’individu se définissant par rapport à ses relations, ce besoin appartient au pôle « relationnel » de l’axe ontologique.
-  Le besoin d’estime prolonge le besoin d’appartenance. L’individu souhaite être reconnu en tant qu’entité propre au sein des groupes auxquels il appartient.
-  Le besoin de s’accomplir est selon Maslow le sommet des aspirations humaines. Il vise à sortir d’une condition purement matérielle pour atteindre l’épanouissement. Nous le considérons donc comme antagoniste aux besoins physiologiques.

Dans les relations personnelles (couple, amitiés, famille,…). La pyramide de Maslow peut en effet apporter une nouvelle vision à certains problèmes dans les relations humaines. Dans un couple par exemple, chacun cherche à satisfaire les besoins du niveau où il se trouve, parfois différents des besoins de l’autre.

Cette hiérarchisation est critiquable à plusieurs égards et notamment pour son coté réducteur, car d’un individu à l’autre, l’intensité des besoins est répartie de manière différente, tout comme les différentes phases de la vie (études, vie de couple, premier enfant, retraite,…) influencent la hiérarchisation des besoins.

Quoiqu'il en soit, dans nos sociétés occidentales où nos premiers besoins sont globalement satisfaits, il nous reste souvent à satisfaire nos besoins d'estime et nos besoin d’accomplissement. La société de consommation nous fait alors croire que c'est dans l'acquisition de produits que nous parviendrons à satisfaire ces besoins. C'est une course perdue d'avance car sans fin. Il faut chercher à satisfaire "l'être" plutôt que "l'avoir".

Comme introduction à la compréhension de la différence entre le mode avoir et le mode être d'existence, voici en exemple deux poèmes . L'un est un haïku écrit par un poète japonais, Basho (1644-1694) ; l'autre est d'un poète anglais du XIXe siècle, Tennyson. Chacun des deux poètes raconte une expérience comparable : sa réaction devant une fleur aperçue au cours d'une promenade.

Voici le poème de Tennyson :
0 fleur, trouvée dans un mur lézardé,
je t'ai cueillie, arrachée à ta fissure,
et, là, je t'ai tenue dans ma main, tout entière, avec tes racines,
petite fleur — mais si je pouvais comprendre
ce que tu es, dans ta totalité, y compris tes racines,
je pourrais savoir ce qu'est Dieu, et ce qu'est l'homme.

La traduction du haïku de Basho donne à peu près ceci :
En regardant attentivement
Je vois le nazuna qui fleurit
Près de la haie!

La différence est frappante. Tennyson réagit devant la fleur en désirant l'avoir. Il la cueille « tout entière, y compris ses racines ». Et tandis qu'il se livre pour finir à une spéculation intellectuelle sur la fonction possible de la fleur qui pourrait lui permettre de pénétrer la nature de Dieu et de l'homme, la fleur est tuée par l'intérêt même qu'il lui porte. La réaction de Basho en présence de la fleur est toute différente. Il n'a pas envie de la cueillir, ni même de la toucher. Il se contente de « regarder attentivement », pour la « voir ».

Dans Renaissance, les personnages ne possèdent que ce qu'ils peuvent produire de leurs propres mains. Ayant tout perdu, ils doivent répondre à leurs propres besoins primaires. Libérés de la société de consommation, ils peuvent librement évoluer dans le mode être, dans le respect de la vie.




Extrait de Renaissance sur le thème de l'amour

Qu'est-ce que l'amour au sein de la famille ?

La définition trouvée dans wikipedia désigne "un sentiment d'affection et d'attachement envers un être vivant ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, spirituelle ou même imaginaire avec l'objet de cet amour et à adopter un comportement particulier."

Dans mon roman Renaissance, l'amour qui unit les membres d'une famille est largement développé. Alors qu'au début de l'histoire un fossé semble irrémédiablement se creuser entre chaque génération, un événement particulier va durablement inverser cette tendance. Chaque personnage va trouver un rôle indispensable à la survie de l'ensemble de la communauté fragile et isolée.

Notre famille est à la fois nos racines, notre présent et le futur de nos enfants. Aimons nos proches comme si nous les voyions pour la dernière fois. C'est le plus bel élan qui soit. Garantie de bonheur assurée !

Extrait de Renaissance :
"   Le troupeau de Pauline et Clément était composé d’une quinzaine de tarines dont six génisses et un taureau. Ils avaient décoré chaque bête d’un collier de fleurs spécialement pour l’occasion. Ils étaient heureux de retrouver toute la famille au chalet après plusieurs semaines sur les estives.
   La vieille jument tirait une charrette fabriquée avec des planches de bois et un essieu récupéré sur l’ancienne camionnette. Cela permettait de transporter l’imposante production de fromages de l’été. Pauline et Clément ramenaient ainsi une bonne centaine de tomes de deux kilogrammes chacune, de quoi largement subvenir aux besoins de plusieurs familles avec qui il serait possible de faire du troc, comme les Durand.
   Anouk et Nikita devancèrent de quelques minutes Pauline, Clément et les bêtes. Il s’agissait de deux jeunes chiennes issues d’un croisement improbable entre un loup et Belle, qui était partie un jour seule dans la montagne. Anouk et Nikita étaient d’incroyables gardiennes de troupeau. Elles courraient toute la journée, protégeaient le troupeau contre les prédateurs et prévenaient Pauline et Clément à chaque danger. Elles étaient heureuses de retrouver le chalet où elles avaient vu le jour.
   Les chiennes saluèrent de leurs aboiements, de leurs frottements de museau et de leur langue, chacun des membres de la famille à tour de rôle. Elles recevaient en retour des caresses.
   Anouk et Nikita étaient des auxiliaires indispensables de Pauline et Clément pendant l’été mais elles étaient également très appréciées pour leur présence au chalet le reste de l’année. Si des individus malintentionnés approchaient, l’alerte serait immédiatement donnée et il serait possible de rapidement mettre en place le système de défense défini avec chaque membre de la famille. Dans l’hypothèse d’une attaque, chacun savait précisément où il devait aller et ce qu’il devait faire. L’objectif était de protéger les enfants, de préserver au maximum les réserves de nourriture et les animaux et enfin, d’organiser la défense du chalet. Les trois familles voisines devaient également faire front aux côtés d’Alexandre et des siens, afin de repousser les assaillants, sans quoi, elles auraient
été encore plus vulnérables.
   Pauline, Clément et le reste des animaux arrivèrent accueillis par toute la famille qui venait à leur rencontre. Tout le monde était heureux de se retrouver. Des embrassades chaleureuses et sincères durèrent plusieurs minutes.
   « Mais, ton ventre, s’exclama Claire qui regardait Pauline. »
   Le regard et le sourire de Pauline et de Clément furent aussi clairs que tous les discours.
   « Félicitations ! Bravo aux futurs parents ! Alors, cela fait combien de temps ? Les remarques fusaient de tous côtés.
   — Maman, elle a quoi dans le ventre tatie Pauline, questionna le garçon de Juliette.
   — Un bébé, répondirent les autres enfants en choeur...»

Autres citations sur l'amour de la famille : "Heureuse la famille qui, dans l'union la plus pure, coule au sein de l'amitié et de l'amour ses paisibles jours, et semble n'avoir qu'un cœur à tous ses membres ! Ô innocence des mœurs, douceur d'âme, antique simplicité, que vous êtes aimables ! Jean-Jacques Rousseau

"La famille de bon exemple est celle où l'on s'entraide et s'entr'aime, où jeunes et vieux cheminent dans la bonne voie en se donnant la main. C'est un milieu salutaire où l'on s'épanouit doucement. Henri-Frédéric Amiel

«Amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille. Victor Hugo

Actualité : bonne épiphanie

Je vous souhaite à toutes et à tous une excellente Épiphanie. Si vous êtes aussi gourmands que moi, attention aux calories !

J'adore l'odeur de la frangipane qui cuit au four, un après-midi de dimanche lorsqu'il fait froid dehors. La famille est regroupée et joue à la table de la cuisine en attendant l'heure de déguster la galette qui dore doucement. Les enfants construisent la couronne qu'ils ne manqueront pas de coiffer avant d'avoir découvert la fève. Je savoure ces moments simples qui me rappellent ceux de mon enfance et que je retransmets à mon tour à mes enfants.

Je vous conseille tout particulièrement cette recette 5 étoiles sur 5 :
http://www.marmiton.org/recettes/recette_galette-des-rois-a-la-frangipane_20147.aspx

Thème abordé dans Renaissance : le respect

Qu'est-ce que le respect ?

La définition trouvée dans wikipedia "évoque l'aptitude à considérer ce qui a été énoncé et admis dans le passé, et d'en tirer les conséquences dans le présent. Il peut ainsi être question du respect d'une promesse, du respect d'un contrat ou du respect des règles d'un jeu. Dans ces exemples, le respect évoque l'aptitude à se remémorer le moment dans lequel un être humain s'est engagé, respectivement, à tenir sa promesse, à satisfaire aux conditions du contrat, ou à se conformer aux règles du jeu."

Dans mon roman Renaissance, le respect est largement développé, car il est l'une des qualités indispensables à la survie des personnages dans cette microsociété fragile et isolée.

Le respect appliqué aux autres prend alors un sens très proche de l'estime. En se respectant les uns les autres, chaque personnage évite de nuire à l'autre, car ils s'estiment. Deux moteurs de respect peuvent agir : l'amour au sens large, d'une part, et l'interdépendance de chaque personnage, d'autre part. Il n'est plus alors question de confusion avec la tolérance que l'on rencontre habituellement dans notre société et qui est malheureusement parfois accompagné du mépris. Autrement dit, il n'y a respect que lorsque deux personnes font un pas l'une vers l'autre (par amour ou par nécessité). Par voie de conséquence, il ne peut y avoir de respect dans une société individualiste. Si je veux que tu me respectes, il faut que nous nous estimions tous les deux. Il convient donc que je sois moi-même irréprochable.

Le respect appliqué à la nature et à l'environnement est quelque peu différent, quoique. Dans Renaissance, le massif des Bauges devient le lieu de vie en autarcie des personnages de l'histoire. Sans aucune aide extérieur, l'Homme n'est plus un individu surpuissant qui regarde avec mépris et dédain la nature qui l'entoure. Non, chacun fait humblement partie intégrante de ce décor montagnard à la fois beau et rude. Respecter la nature est donc gage de survie durable. Dans notre vie de tous les jours, respecter notre environnement revient à limiter autant que possible nos activités polluantes. Cette forme de respect n'est pas réciproque, c'est vrai, pour autant, en retour, l'Homme bénéficie d'avantages non négligeables. Cette reconnexion avec la nature permet une vie plus saine physiquement et mentalement. Elle apporte une vie plus simple, moins stressante et surtout beaucoup plus heureuse.

Vous l'aurez compris. Pour vivre heureux, respectons. Respectons les autres et notre environnement.

"Si tu as tort, c’est à toi d’en apprendre et de te corriger. C’est de cette façon qu’on évolue et qu’on se fait respecter."

«Le respect est ce que nous devons; L’amour est ce que nous donnons» – Philip James Bailey

«Respecte les émotions des autres, car si cela ne signifie rien pour toi, peut-être que cela signifie tout pour les autres»

Actualité : le jour des bonnes résolutions...

Je vous souhaite une merveilleuse année 2016. Qu'elle vous apporte, à vous et à vos proches, tout l'amour, l'amitié, le bonheur et la santé que vous désirez. 

Aujourd'hui, premier jour de l'année, c'est aussi le jour des bonnes résolutions. Et si vous commenciez par vous prendre en main. Je sais, c'est un peu brutal. J'en suis désolé. C'est fait exprès pour que vous réagissiez. Imaginez que chacun d'entre nous apporte sa pierre à la construction d'un monde meilleur. Je ne vous parle pas d'utopie mais :
  - de sourires, pour chasser la tristesse,
  - d’audace, pour que les choses ne restent jamais en place,
  - de confiance, pour faire disparaître les doutes,
  - de gourmandises, pour croquer et déguster la vie,
  - de réconfort, pour adoucir les jours difficiles,
  - de générosité, pour se nourrir du plaisir de partager,
  - d'arcs en ciel, pour colorer les idées noires,
  - de courage, pour continuer à avancer,
  - de respect, pour protéger notre belle planète
  - et d'amour, pour semer la tolérance et la paix autour de soi !

Si cette quête du bonheur est un sujet qui vous parle, je ne peux que vous conseiller de lire et de partager Renaissance, un roman à propos des valeurs humaines.